Gratin de figues (pour 6)
Ingrédients
Deux oeufs
20 cl de crème fraîche
4 cuillères à soupe de sucre
Figues (fraîches ou surgelées, nature)
Amandes éfilées
Cannelle
Préparation
Mélanger les oeufs avec la crème frâiche et 3 cuillères de sucre jusqu'à obtenir une pâte... sucrée.
Disposer les figues dans les ramequins et verser dessus le mélange oeufs-crème fraîche-sucre et bien couvrir les figues.
Mélanger 1 CS de sucre avec de la cannelle et saupoudrer les figues.
Terminer par les amandes éfilées.
EnfournerMettre au four (pré-chauffé) à 180° pendant 30 minutes. A déguster chaud ou froid
Astuce : sortir les figues surgelées du sachet, verser un peu de sucre dessus afin qu'elles décongèlent en marinant dans du sucre
samedi, décembre 4
jeudi, novembre 11
jeudi, novembre 4
mardi, novembre 2
lundi, novembre 1
Ce n'est pas normal...
Je lis par-ci et par-là que des journalistes Brésiliens auraient perdu leur travail. Soit ils ont donné leur démission, soit ils ont été sortis (manu militari?) s'ils n'écrivaient pas des articles dont la tendence était l'une ou l'autre branche politique (plutôt l'une que l'autre...).
[article br]
Au Brésil, la plupart des journaux, le média en général, semble être plus à droite qu'à gauche.
Chacun peut penser ce qu'il veut, voter pour qui il souhaite. Mais de là à museler la presse pas top. Plutôt même glop.
Ceci dit, ce n'est pas exclusivement brésilien, non?
[article br]
Au Brésil, la plupart des journaux, le média en général, semble être plus à droite qu'à gauche.
Chacun peut penser ce qu'il veut, voter pour qui il souhaite. Mais de là à museler la presse pas top. Plutôt même glop.
Ceci dit, ce n'est pas exclusivement brésilien, non?
dimanche, octobre 31
Souvenirs
Paris, un salon de thé, un après-midi d'hier.
Je sirote mon thé au goût russe, je mange mon gâteaux, j'observe un vieux monsieur qui, accompagné de sa femme, lui ses cheveux et barbes blanches, elle, ses cheveux blancs et son petit chapeau, s'offrent le même plaisir que moi.
En partant, je m'arrête, je lui dis merci. C'était un de mes profs à l'Ecole du Louvre. Un professeur passionné par son sujet, ses sujets, pas l'art pur, mais les artistes qui font l'art, les époques qui créent des styles, l'apparition des institutions artistiques il y a de nombreux siècles.
Il n'enseigne plus, je n'étudie plus.
Mais je luis dis un grand merci pour avoir partagé sa passion avec quelques (plusieurs) élèves.
Je suis allée à Rome récemment. Je me suis souvenue de ses cours lorsque j'étais au Panthéon, devant le tombeau de Raphaël.
Je me suis rappelée de son livre, sur mon étagère, entamé mais encore à lire. L'envie de m'y mettre me prend.
Tiens, pour les soirées d'hiver, un peu de rêve artistique.
mercredi, septembre 29
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